Entre le Ve et le Xe siècle, le sceau est plaqué : une incision en forme de croix est pratiquée dans le parchemin ; deux couches de cire sont disposées de chaque coté du parchemin ; l'ensemble est renforcé par une troisième couche périphérique ; l'empreinte est ensuite obtenue par impression.

La faible épaisseur de cire traversant l'acte rend ces sceaux très fragiles : peu d'exemplaires sont encore conservés dans les services d'archives.