Présentation du contenu : 1. Charte de Gervais, official de Troyes, contenant donation par Eudes Jollain de Clérey, chevalier, à Jean de Clérey, clerc, son oncle, de ses droits sur une place située à Troyes, au marché près du four Saint-Bernard-des-Meules (1238). 2. Bail de l'abbaye de Vauluisant (1244) [pièce extraite n° H 776-2]. 10. Vente à Jean de Clérey, clerc, par Hugues Blesus, bourgeois de Troyes, et Dreux, son fils, d'un bâtiment audit lieu, moyennant 10 livres 10 s. de Provins (1250). 11. Donation d'une maison et dépendances sises à Troyes, au marché des Meules, par Jean de Clérey, clerc, à l'abbaye de Vauluisant, pour le repos de son âme (1253). 12. Vente par Gilles le Gras, citoyen de Troyes, et sa femme à l'abbaye de Vauluisant de deux maisons en la rue Saint-Pantaléon, audit lieu, tenant à la rue dite feu Monseigneur-Jacques-Maunoury, chevalier, pour le prix de 450 livres t. (1293). 15. Charte de Jean, doyen, et des chanoines de Saint-Étienne de Troyes, contenant échange de 5 s. de cens sur une maison située rue Saint-Pantaléon, devant l'église de ce nom, pour d'autres cens à Barbeaux "in crastine anniversarii bone memorie Henrici, comitis, nostre ecclesie fundatoris" (1299) [pièce extraite n° H 776-15]. Sentence arbitrale prononcée par Maître Étienne d'Auxon, avocat en la cour de Troyes, portant condamnation de Jean Le Maignien, notaire, à rendre la personne de Milon Jean, marchand, au bénéfice de la franchise de la maison de l'abbaye de Vauluisant, située devant l'église de Saint-Pantaléon, à Troyes, de laquelle il l'a fait induement enlever, au préjudice du privilège de la franchise de l'abbaye, qui existe de temps immémorial, à ce point que les sergents royaux, qui guettent ceux qui s'y réfugient, n'osent pas les en enlever ; et condamnant aussi ledit Maignien à jeûner deux vendredis du Carême prochain, et à aller la veille de Pâques à Saint-Michel, et la veille de Quasimodo à Saint-Jacques, près Troyes (1313, février). Bail à trois vies d'un hôtel appartenant aux religieux, appelé leur petite maison, situé derrière leur hôtel appelé l'Hôtel de Vauluisant, tenant à une ruelle par laquelle on vient de Saint-Pantaléon (1483).