En quête d'identité : l'art du blason dans le patrimoine icaunais > L'écu et ses figures > Formes, couleurs… > Les émaux > Les couleurs
Dans un souci de lisibilité et d'esthétique, l'une des principales règles de l'héraldique interdit de poser une couleur sur une couleur ou un métal sur un métal.
Un seul cas d'armoiries déroge à cette pratique : celles du royaume de Jérusalem portant d'argent à la croix potencée d'or et cantonnée de quatre croisettes de même.
[tiré du turc « Ghiul »], symboliserait non seulement le courage, la vaillance mais aussi le sang versé lors des combats.
[emprunté à l'expression arabe « lazaward », signifiant bleu céleste], représenterait la douceur, la loyauté, la vigilance et le ciel.
[pourrait provenir du slave « zobol », désignant la zibeline], marquerait la prudence et l'humilité.
[peut-être emprunté au nom de la ville turque de Sinope], désignerait l'espérance, la courtoisie et la joie.
[Nota : dans l'héraldique médiévale,...
symboliserait la grandeur de la pourpre antique, la largesse, la richesse et l'abondance.
[Nota : jusqu'au XVe s, il est représenté par une...