En quête d'identité : l'art du blason dans le patrimoine icaunais > L'écu et ses figures > Le blasonnement
La description des armoiries, appelée blasonnement, suit des règles précises et codifiées ; en français, elle utilise un langage particulier, né au XIIe s., inspiré par la chevalerie et fixé à partir du XVe s.
Parmi les règles essentielles figure celle du sens de lecture : l'écu se lit toujours en partant du champ et en rajoutant les partitions et/ou les pièces, puis en terminant par les meubles, le cas échéant.
Plus les couches empilées augmentent, plus le blasonnement de l'écu se complique.
Il s'agit du cas le plus fréquent aux XIIe et XIIIe s., où l'écu est entièrement recouvert d'un même émail, sur lequel sont éventuellemt apposées...
Les écus à champ composé sont constitués de plusieurs champs simples assemblés entre eux à l'aide d'une partition (tranché, coupé, écartelé, ...)....
Après avoir décrit le champ de l'écu, il convient d'en décrire les éventuelles pièces et/ou figures : la technique peut différer selon les cas.
...Un meuble, qui comme son nom l'indique n'est pas fixe, est toujours considéré par défaut comme présent au centre de l'écu. Si ce n'est pas le cas,...
Lorsque au sein d'un même écu, dans un souci de transmission de nombreuses informations essentiellement liées aux alliances, les partitions, les...