Le lendemain de son arrivée à l'abbaye de Pontigny, le corps d'Edmond d'Abingdon est inhumé près du maître-autel de l'abbatiale. Rapidement, la présentation de sa dépouille est orchestrée d'une manière comparable à celle de Thomas Becket dans la cathédrale de Cantorbéry.

Grâce à de petites ouvertures pratiquées dans le sarcophage, les fidèles peuvent approcher, voir et même toucher la dépouille, dans l'espoir de l'accomplissement de miracles.