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Une fois ces conflits réglés, l'abbaye de Pontigny peut reprendre sa politique d'expansion de la grange de Bœurs : désormais l'heure n'est plus à l'attente de donations, mais à l'achat des biens et droits manquants pour consolider le domaine. Ainsi, en 1234, l'abbaye reçoit de Guillaume, neveu de Gui Saint-Médard, une rente à prendre sur la forêt de Valgomer et le prieuré de Saint-Flavil de Villemaur, proches de la grange ; elle lui achète en même temps une autre rente à percevoir sur la même forêt.