Présentation des notices

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  Archives antérieures à 1790 1326-1790

  Importance matérielle : 1.52 ml

  Classement :

  L'ordre de classement des fonds des anciens établissements de charité est celui utilisé par Maximilien Quantin en 1861.

  
  
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    Hôpital de Tous-les-Saints 1326-1764

    Importance matérielle : 0.63 ml

    Particularité physique : Parchemin, papier

    Présentation du producteur :

    Également connu sous le vocable d'hôpital-lès-Pont, l'hôpital de Tous-les-Saints est fondé en 1330 par Jeanne, comtesse de Joigny, dans un lieu lui appartenant situé en bordure de la rive gauche de l'Yonne. Doté de quelques bâtiments (oratoire, chapelle, et espace pour la réception et le soin des pauvres malades), l'établissement exerce les missions qui lui sont dévolues dans sa charte de fondation : nourrir les affamés, accueillir les pèlerins et pauvres passants, apporter des soins aux malades et inhumer les défunts.

    Riche des donations des comtes de Joigny successifs puis de celles des habitants, l'hôpital-de-Tous-les-Saints possède un temporel diversifié composé essentiellement de la propriété des moulins situés sur le pont de la ville et des étaux de boucherie, et de droits tels celui de pêche pesant sur les îles et îlots de la rivière et de banvin (privilège de la vente du vin de la Saint-Antoine à la mi-mars).

    Après les importants dégâts subis passé le début du XIVe s. (1429 : destruction par les troupes anglaises ; 12 juillet 1530 : embrasement partiel lors de l'incendie de la ville), l'hôpital est reconstruit à partir de la fin du XVIe s., ce qui lui vaut le nom d'hôpital Neuf-lès-Pont. Les campagnes majeures de réhabilitation et de réaménagement des bâtiments se déroulent durant le XVIIIe s. Profitant de premières restructurations urbaines, certains bâtiments, trop endommagés, sont totalement démolis, telle l'église détruite en 1763, pour permettre le percement d'un nouvel axe reliant le pont aux routes d'Auxerre et d'Aillant.

    À la Révolution, l'hôpital est en capacité d'accueillir douze hommes, huit femmes, huit orphelins et quatre militaires.

    Modalités d'entrée :

    H 2280/2-5 : dévolutions révolutionnaires.

    Sources complémentaires externes :

    Joigny, bibliothèque municipale, Ms 26 : obituaire [1336-XVIIIe s.].

    Organisme : Hôpital de Tous-les-Saints (Joigny, Yonne, France)

    
    
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      Titres de propriété 1330-1748

      Importance matérielle : 0.39 ml

      
      
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        Biens 1347-1748

        Importance matérielle : 0.11 ml

        
        
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          H-dépôt 13 I B 7 Évaluation, arpentage, amodiation 1347-1748

          Présentation du contenu :

          Temporel, évaluation : déclaration (1549, 1673). Terres, prés, vignes, arpentage : procès-verbaux, mémoires, plans (1649-1748). Terres, vignes, et prés situés à Joigny et Chamvres, évaluation : procès-verbal (XVIIIe s.). Maison à Looze, amodiation : bail (1347).

          Importance matérielle : 0.03 ml

          Lieu : Chamvres (Yonne, France) / Joigny (Yonne, France) / Looze (Yonne, France)

          
          
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          H 2380-3 Moulins de Joigny, amodiation : baux 1579-1700

          Importance matérielle : 0.04 ml

          Sujet : énergie hydraulique

          Lieu : Joigny (Yonne, France)

          
          
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    Hôtel-Dieu Notre-Dame des Porchers 1547-1775

    Importance matérielle : 0.09 ml

    Particularité physique : Parchemin, papier

    Présentation du producteur :

    L'hôtel-Dieu Notre-Dame, dit Notre-Dame des Porchers, tire son nom de celui de son fondateur, Étienne Porcher, sergent d'armes du roi Charles V, qui vers 1364 institue un établissement d'accueil doté de quatre lits pour recevoir les pauvres femmes passantes.

    Installé sur la paroisse Saint-André, à proximité de la Porte de Percy, il bénéficie de nombreuses donations des Joviniens qui lui permettent de disposer rapidement et d'entretenir des espaces d'accueil, de soins et de vie (salle capitulaire, église, cloître, chapelle) et d'un vaste temporel s'étendant sur les actuelles communes de Saint-Aubin-sur-Yonne, Cézy, Béon, Chamvres, Joigny, Looze et Brion.

    Organisme : Hôtel-Dieu Notre-Dame des Porchers (Joigny, Yonne, France)

    
    
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      H-dépôt 13 II B 1 Donations : actes notariés, inventaires après décès. 1644-1649

      Présentation du contenu :

      Jean Thevenon, compagnon boulanger à Joigny [pour tous ses biens et meubles] (1694). François Chollot, marchand à Joigny [500 livres en biens fonds] (1694). Jeanne Byot ; veuve de Claude Béjard ; fermier de Saint-Cydroine [pièces de terre] (1696). Anne d'Orange, fille de défunt Claude et de Marie Cretté [pièces de vigne] (1697). Edmée Boursin, veuve de Nicolas Cretté [pièces de terre] (1698). Marguerite Ferrand, fille majeure, Suzanne d'Éon, veuve de Marin Moreau, Pierrette d'Éon, Marguerite Cagnat [tout leurs biens meubles] (1699). Blondeau, curé de Saint-Thibaut [102 livres en échange de messes] (1701). Jean Ferrand, procureur au parlement [rente de 12 livres] (1701). Claude Houard, bourgeois de Paris [rentes foncières] (1702). Savinien Boucquot, bourgeois de Joigny [1000 livres pour son accueil à l'hôtel-Dieu] (1704). Catherine Le Roy, veuve de Louis Davier, lieutenant des eaux et forêts au comté de Joigny [pour des rentes foncières] (1705). Jeanne Pavillon, fille majeure demeurant à Joigny [pour la partie d'une maison à Joigny] (1705). Louis Roncelin [pièces de terre] (1709). Marie Chollet, fille majeur demeurant à Joigny [pour 500 livres] (1709). Anne Dupuis, veuve d'Edme Bourdais, procureur à Joigny [rentes constituées] (1710). Élisabeth-Louise Comtesse, fille majeure à Paris [une somme de 900 livres] (1711). Edme Guillot, vigneron à Longueron [pour une rente foncière de 40 sols] (1712). Edmée Cussier, veuve de Nicolas Ferrand [rente de 12 livres 10 sols] (1713). Anne Bouvadois, veuve de Louis Hardouin, officier de Madame la Dauphine [une pièce de vigne] (1714). Guillaume Lange, prêtre de Saint-Aubin-Château-Neuf [une somme de 300 livres] (1715). Jacques Chollet, vigneron à Joigny [rente de 100 sols] (1716). Charles Perette, laboureur à Migennes [une pièce de terre] (1717). Élisabeth Gaussé, fille majeure à Joigny [rente de 120 livres] (1717). Jean Ferrand, procureur au parlement [rente foncière de 60 livres] (1720). Marie Piochard, veuve de Jean Blanchard [rente de 300 livres] (1722). Marguerite Houard, épouse de Jean Gausson, maître cordonnier à Paris [rente de 300 livres] (1724). Jeanne Puisoye, fille majeure à Joigny [pièces de terre] (1730). André Viviers, curé de Laduz [une somme de 1179 livres] (1731-1733). Philippe Davis de Noisy, bourgeois de Joigny [rente de 25 livres] (1742). Anne Blanchard, demeurant à Joigny [rente de 500 livres] (1776).

      Importance matérielle : 0.01 ml

      Classement :

      Classement par ordre chronologique

      Sujet : dons-et-legs

      Personne : Thevenon, Jean / Chollot, François / Byot, Jeanne (veuve Claude Béjard) / Béjard, Claude / Orange, Anne d' / Cretté, Marie / Orange, Claude d' / Boursin, Edmée (veuve Nicolas Cretté) / Cretté, Nicolas / Ferrand, Marguerite (veuve) / Éon, Suzanne d' (veuve Marin Moreau) / Éon, Pierrette d' / Moreau, Marin / Cagnat, Marguerite / Blondeau (curé) / Ferrand, Jean / Houard, Claude / Boucquot, Savinien / Le Roy, Catherine (veuve Louis Davier) / Davier, Louis / Pavillon, Jeanne / Roncelin, Louis / Chollet, Marie / Dupuis, Anne (veuve Edme Bourdais) / Bourdais, Edme / Comtesse, Élisabeth-Louise / Guillot, Edme / Cussier, Edmée (veuve Nicolas Ferrand) / Bouvadois, Anne (veuve Louis Hardouin) / Ferrand, Nicolas / Lange, Guillaime / Chollet, Jacques / Perette, Charles / Gaussé, Élisabeth / Piochard, Marie (veuve Jean Blanchard) / Blanchard, Jean / Houar, Marguerite (ép. Jean Gausson) / Puisoye, Jeanne / Viviers, André / Davis de Noisy, Philippe / Blanchard, Anne / Davier, Catherine (veuve) / Ferrand, Edmée (née Cussier ; veuve) / Bourdais, Anne (veuve) / Gausson, Marguerite (née Houar) / Cretté, Edmée (veuve) / Béjard, Jeanne (veuve) / Blanchard, Marie (veuve)

      Lieu : Joigny (Yonne, France) / Laduz (Valravillon, Yonne, France) / Paris (France) / Migennes (Yonne, France) / Saint-Aubin-Château-Neuf (Le Val-d'Ocre, Yonne, France) / Longueron (Champlay, Yonne, France) / Champlay (Yonne, France) / Saint-Thibaut (Joigny, Yonne, France ; paroisse) / Laroche-Saint-Cydroine (Yonne, France) / Le Val-d'Ocre (Yonne, France) / Saint-Cydroine (Laroche-Saint-Cydroine, Yonne, France)

      
      
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      Administration de l'établissement 1547-1775

      Importance matérielle : 0.04 ml

      
      
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        Biens 1648-1775

        Importance matérielle : 0.02 ml

        
        
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          H-dépôt 13 II D 3 Plans figurés des biens de l'hôtel-Dieu de Joigny situés sur les communes de Saint-Aubin-sur-Yonne, Cézy, Béon, Chamvres, Joigny, Looze et Brion / par Pichot, arpenteur forestier à Joigny. [1775]

          Présentation du contenu :

          Atlas de 20 feuillets, "réduits et recopiés en 1867, d'après les trois grands plans originaux relatés sous les n° 1, 2 et 3 de l'inventaire".

          Importance matérielle : 0.01 ml

          Lieu : Saint-Aubin-sur-Yonne (Yonne, France) / Cézy (Yonne, France) / Béon (Yonne, France) / Chamvres (Yonne, France) / Joigny (Yonne, France) / Looze (Yonne, France) / Brion (Yonne, France)

          
          
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    Association des servantes des pauvres également appelée maison de charité 1618-1690

    Importance matérielle : 0.12 ml

    Particularité physique : Parchemin, papier

    Présentation du producteur :

    L'association de Charité, également appelée association des servantes des pauvres, est fondée en 1618 sous l'impulsion conjuguée de Françoise-Marguerite de Silly, comtesse de Joigny, donatrice d'une partie de ses biens, et Vincent de Paul, percepteur des enfants du comte, qui en rédige les statuts. L'association est dirigée par une prieure ou directrice, élue pour deux ans, accompagnée de deux assistantes, l'une en charge du mobilier et l'autre pour la comptabilité. Au moment de sa fondation, l'établissement compte quarante dames qui ont en charge le soin des pauvres ; en 1663 ce nombre s'élève à soixante-trois.

    Dans le même temps, Vincent de Paul fonde l'association des serviteurs des pauvres, chargés du secours des pauvres valides et infirmes, à laquelle adhèrent le comte de Joigny, Philippe-Emmanuel de Gondi, ainsi que les officiers et bourgeois de la Ville.

    En 1621, l'archevêque de Sens décide de fusionner les deux établissements, sous le nom de confraternité de la Charité ou association des servantes et serviteurs des pauvres réunies tout en maintenant leurs attributions respectives : le soin des malades pour les femmes, l'accueil des valides et infirmes pour les hommes.

    Organisme : Association des servantes des pauvres (Joigny, Yonne, France) / Maison de charité (Joigny, Yonne, France)

    
    
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      H-dépôt 13 III B 1 Donations 1621-1661

      Présentation du contenu :

      Louis Bourgeois, receveur des domaines du comte et Françoise Coudon, sa femme [une rente] (1621). Suzanne Déon, veuve de Marin Moreau, et Marguerite Ferrand, demeurant à Joigny [un bâtiment, paroisse Saint-Thibaut, rue du Four-Banal] (1691).

      Importance matérielle : 0.03 ml

      Sujet : dons-et-legs

      Personne : Déon, Suzanne (veuve Marin Moreau) / Moreau, Marin / Ferrand, Marguerite (veuve) / Coudon, Françoise (ép. Louis Bourgeois) / Moreau, Suzanne (veuve)

      Lieu : Joigny (Yonne, France) / Saint-Thibaut (Joigny, Yonne, France ; paroisse) / Joigny (Yonne, France) -- Rue du Four-Banal

      
      
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    Hôtel-Dieu et maison de charité unis 1600-1790

    Importance matérielle : 0.44 ml

    Particularité physique : Parchemin, papier

    Présentation du producteur :

    Un arrêt de 1691 fusionne l'hôtel-Dieu Notre-Dame-des-Porchers et la confraternité de la Charité, pour créer un nouvel établissement qui porte le nom d'hôtel-Dieu et Maison de Charité unis, et s'installe dans un premier temps dans les anciens bâtiments de la Charité situés entre les rues Saint-Jacques et du Four-banal.

    Un arrêt du Conseil privé du roi en date du 15 avril 1695, en confirmant l'union des deux principaux établissements leur adjoint tous les biens des autres établissements charitables qui ne disposaient d'autres biens biens-fonds que leurs revenus : les anciens hôtel-Dieu Saint-Antoine de Joigny et de Villiers-Saint-Benoît ; les maladreries Saint-Jacques de Joigny, Saint-Denis de Léchères, de Neuilly, de Chassy, de Saint-Aubin-Château-Neuf sont absorbés.

    Au début du XVIIIe s., cette fusion permet l'installation définitive de l'hôtel-Dieu et maison de charité unis dans les locaux laissés vacants de l'ancien hôtel-Dieu Saint-Antoine.

    Ces unions successives aboutissent à la création d'un établissement aux biens et revenus importants, possédant plus de 286 pièces de terre et de vigne sur une superficie proche des 300 arpents.

    D'abord prodigués par des sœurs hospitalières issues d'un recrutement local (veuves et demoiselles de la bourgeoisie jovienne essentiellement), les soins sont dispensés, à partir de 1741, par des religieuses de la Charité de Sainville.

    Organisme : Hôtel-Dieu et Maison de Charité unis (Joigny, Yonne, France)

    
    
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      H-dépôt 13 IV A 1 Actes de fondation, unions des établissements 1671-1711

      Présentation du contenu :

      Maladreries et hôpitaux de l'ordre de Notre-Dame du Mont-Carmel et Saint-Lazare de Jérusalem : édit royal, déclaration du roi (1671-1695). Hôtel-Dieu Notre-Dame des Porchers et maison de charité : délibération des patrons et administrateurs de l'hôtel-Dieu (1691). Hôtel-Dieu Notre-Dame et charité unis et les maladreries Saint-Denis de Léchères, Saint-Jacques de Joigny, de Chassy, de Neuilly, de Villiers-Saint-Benoît, de Saint-Aubin et l'hôpital Saint-Antoine de Joigny : lettres-patentes royales, arrêt du Conseil privé (1695-1699). Hôtel-Dieu Notre-Dame et charité-unis et Orphelines : convention, réclamation des demoiselles Branché et Anne Coquillat (1711).

      Importance matérielle : 0.02 ml

      Personne : Branché / Coquillat, Anne

      Organisme : Ordre de Notre-Dame du Mont-Carmel et Saint-Lazare de Jérusalem réunis / Hôtel-Dieu Notre-Dame des Porchers (Joigny, Yonne, France) / Maison de charité (Joigny, Yonne, France) / Hôtel-Dieu et Maison de Charité unis (Joigny, Yonne, France) / Maladrerie Saint-Denis-de-Léchères (Joigny, Yonne, France) / Maladrerie Saint-Jacques (Joigny, Yonne, France) / Maladrerie (Chassy, Yonne, France) / Maladrerie de Neuilly (Valravillon, Yonne, France) / Maladrerie de Villiers-Saint-Aubin (Joigny, Yonne, France) / Maladrerie (Saint-Aubin-sur-Yonne, Yonne, France) / Hôpital Saint-Antoine (Joigny, Yonne, France) / France. Conseil d'État privé (jusqu'en 1791) / Maison des Orphelines (Joigny, Yonne, France)

      Lieu : Joigny (Yonne, France) / Lechères (Joigny, Yonne, France) / Chassy (Yonne, France) / Neuilly (Valravillon, Yonne, France) / Villiers-Saint-Benoit (Yonne, France) / Saint-Aubin-Château-Neuf (Le Val-d'Ocre, Yonne, France) / Le Val-d'Ocre (Yonne, France) / Valravillon (Yonne, France)

      
      
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      Titres de propriété 1600-1775

      Importance matérielle : 0.18 ml

      
      
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        H-dépôt 13 IV B 2 Donations 1734-1753

        Présentation du contenu :

        Par Marie-Philippe Branche [pièces de terres à Joigny et rentes] : transaction (1753). Amortissement : commandement de payer, quittances de paiement (1734-1748).

        Importance matérielle : 0.03 ml

        Sujet : dons-et-legs

        Lieu : Joigny (Yonne, France)

        
        
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        H-dépôt 13 IV B 4 Biens non-bâtis 1600-1768

        Présentation du contenu :

        Domaines et revenus temporel, amodiation : baux (1697-1766). Prés à Joigny, amodiation : baux (1600-1699). Bois, fixation de la juridiction de ressort : arrêt du parlement de Paris (1768). Délits forestiers dans les bois dépendant de Saint-Jacques et de Saint-Antoine, jugement : sentence (1759).

        Importance matérielle : 0.03 ml

        Sujet : crimes et délits / limite territoriale

        Activité : location

        Organisme : France. Parlement de Paris

        Lieu : Joigny (Yonne, France)

        
        
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        H-dépôt 13 IV B 5 Privilèges et droit de fermage de la boucherie de carême de la ville de Joigny, amodiation : baux 1726-1775

        Importance matérielle : 0.03 ml

        Activité : location

        Lieu : Joigny (Yonne, France)

        
        
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      H-dépôt 13 IV F 2 Malades 1777

      Présentation du contenu :

      Militaires blessés, admission en nombre suffisant des dragons en garnison à Joigny : demande du ministre de la Guerre.

      Importance matérielle : 0.01 ml

      Sujet : population hospitalière

      Lieu : Joigny (Yonne, France)

      
      
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    H-dépôt 13 IX A 1 Orphelines de Joigny 1706-1708

    Présentation du contenu :

    Établissement : donation de biens meubles, immeubles par Marguerite Bachelier, Liesse Tisson, et Marie-Philippe Branché, fille majeure demeurant à Joigny.

    Importance matérielle : 0.05 ml

    Particularité physique : Papier

    Présentation du producteur :

    Fondé en 1706 par trois bourgeoises de Joigny, Marguerite Bachelier, Liesse Tisson et Marie-Philippe Branché, rapidement rejointes par trois autres en 1711, l'établissement des Orphelines de Joigny est destiné à accueillir les pauvres orphelines de la ville de 6 à 15 ans, installées dans un hôtel particulier de la rue Saint-Jacques, en face de l'ancien collège donné par le curé de Saint-Thibault. Elles cèdent devant la pression des administrateurs de l'hôtel-Dieu visant à unir l'ensemble des établissements charitables de la ville, et acceptent, dès 1711, de remettre leurs biens entre leurs mains au décès de la dernière fondatrice, qui ne survient qu'en 1752. Après cette date, la totalité des biens et revenus de l'établissement sont unis à ceux de l'hôtel-Dieu Notre-Dame et maison de charité unis.

    Personne : Bachelier, Marguerite / Tulon, Liesse / Branché, Marie-Philippe

    Organisme : Maison des Orphelines (Joigny, Yonne, France)

    Lieu : Joigny (Yonne, France)

    
    
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  Archives postérieures à 1789 1330-1970

  Importance matérielle : 9.55 ml

  Particularité physique : Parchemin, papier

  Présentation du producteur :

  Suite aux fusions successives qu'ont connues les institutions charitables à partir de 1695, seuls deux établissements de soins subsistent à Joigny à la veille de la Révolution : l'un, l'hôtel-Dieu et maison de charité unis, sur la rive droite de l'Yonne, l'autre l'hôpital de Tous-les-Saints, sur la rive gauche. Les deux institutions sont fuisonnées en application de la loi du 9 fructidor an III.

  Au début de la Révolution, l'hôpital, malgré les efforts de son administrateur, Lefranc, est dans un état proche de la ruine ; ses bâtiments sont progressivement délaissés puis transformés en granges, magasins à fourrage, écuries et caserne complémentaire.

  Les fonctions d'accueil et de soins se concentrent sur l'hôtel-Dieu et Maison de Charité unis, situé rue Saint-Jacques, qui, dès l'an V, prend le nom d'"hôpital moderne" ou d'"hospice d'humanité civil et militaire". Les quatre sœurs de la Charité de Sainville, en charge des soins depuis 1741 et qui avaient prêté serment à la République en l'an II, sont remplacées par des religieuses de la Charité de Nevers en 1808.

  En l'an IX, sa capacité d'accueil est de 18 malades répartis en deux salles : l'une pour les hommes de douze lits et pouvant en accueillir jusqu'à à seize en cas de besoin ; l'autre, à l'usage des femmes comprend six lits. Les pathologies traitées sont toutes liées à des "maladies aiguës médicales et chirurgicales".

  En 1813, l'afflux de malades et de blessés militaires est tel que le bâtiment de l'ancienne chapelle Saint-Antoine désaffecté depuis l'union avec l'hôtel-Dieu et maison de charité unis en 1695 et depuis convertie en grange à fourrage, doit être transformée en salle d'hospitalisation (après le départ des troupes et suite à des travaux de réhabilitation, elle accueille, dès 1820, une école gratuite pour les jeunes filles indigentes, puis devient salle d'asile vers 1865). Les bâtiments de l'hôpital de Tous-les-Saints sont également mis à contribution pour accueillir des cohortes de malades militaires (prisonniers de guerre espagnols et autrichiens en 1809, prisonniers de guerre espagnols et croates, militaires français en 1813).

  Trente ans plus tard, si les capacités de l'hôtel-Dieu ont augmenté (42 malades dont 14 fiévreux et blessés, 10 fiévreuses et blessés, 18 militaires ou marins et 4 enfants abandonnés), l'établissement ne dispose plus d'aucune possibilité d'extension sur son site. En juillet 1841, l'hôpital est tranféré vers le site de l'ancien hôpital de Tous-les-Saints, plus vaste, situé à proximité de la rivière, et dont les bâtiments sont laissés vacants après la construction d'un parc à fourrage et du bâtiment dit de la « Manutention » sur la route de Saint-Florentin. Cette localisation est par ailleurs jugée moins propice à la propagation des épidémies que dans la vieille ville.

  Les travaux de construction du nouvel hôpital débutent en juillet 1843, sur les plans de Ch. Farouille, architecte de Paris, sous la direction de Roblot, architecte de la Ville de Joigny. Les bâtiments (bâtiment central en forme de U abritant les espaces techniques, de soins et de vie pour les religieuses et chapelle reprenant celle de 1765) sont livrés en juillet 1848 et mis en service le 1er août suivant : ils disposent de 80 lits dont 50 réservés aux militaires, les autres étaient répartis entre les malades hommes, femmes et les enfants abandonnés (jusqu'à 200 à la charge de l'hôpital à cette date). Ce dispositif d'accueil est modifié par la fermeture du tour d'abandon, pratiqué dans le battant fixe de la porte d'entrée, par décision préfectorale du 30 septembre 1850 (ce qui ne marque pas pour autant la fin des abandons d'enfants sur les marches de l'hôpital) et complété en 1865 par la fondation d'un hospice de vieillards. À partir de 1870, le service des hommes est séparé en deux salles, l'une pour l'accueil des fiévreux et l'autre pour les blessés ; la même séparation est appliquée en 1880 aux femmes. En 1897, le traitement chirurgical des patients est amélioré par la construction d'un bloc opératoire distinct des salles de soins, accompagné d'un monte-malade situé contre l'escalier principal, l'installation d'étuves de désinfection dans le jardin et l'agrandissement des salles des bains et d'hydrothérapie. La destruction de maisons situées en bordure de l'Yonne permet en 1903 la construction d'une maternité à laquelle est accolée le bâtiment d'isolement des contagieux. L'aménagement d'un service de radiologie en 1913 et d'une clinique chirurgicale en 1932-1933 (agrandie en 1949) complète ces installations.

  Organisme : Hôpital (Joigny, Yonne, France)

  
  
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    Capital et immobilisations 1330-1970

    Importance matérielle : 1.53 ml

    
    
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      Dotations, dons et legs 1791-1851

      Importance matérielle : 0.09 ml

      
      
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        Dons et legs 1824-1851

        Importance matérielle : 0.06 ml

        Sujet : dons-et-legs

        
        
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          H-dépôt 13 1 N 3 Délivrance : correspondance, arrêtés préfectoraux, extraits des délibérations de la commission administrative, testaments, inventaires de biens après décès 1824-1851

          Présentation du contenu :

          Pierre Chalmeau, curé de Bassou [fondation d'un lit pour les pauvres de Bassou] (1824). Edme-Joachim Bourdois de la Motte, demeurant à Paris [fondation de deux lits] (1834). François Freneau, curé de Neuilly [800 pour l'entretien de sa servante Mle Duménil] (1841). Edme-Louis Lesire-Lacam, propriétaire à Joigny, [45 000 francs] (1851).

          Importance matérielle : 0.03 ml

          Classement :

          Les dossiers, constitués pour chaque donation, sont classés par ordre chronologique.

          Personne : Chalmeau, Pierre / Bourdois de La Motte, Edme-Joachim / Fréneau, François / Duménil (servante) / Lésire-Lacam, Edme-Louis

          Lieu : Neuilly (Valravillon, Yonne, France) / Paris (France) / Bassou (Yonne, France) / Joigny (Yonne, France) / Valravillon (Yonne, France)

          
          
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      Propriétés 1330-1947

      Importance matérielle : 1.33 ml

      Classement :

      Vers 1861, lors du classement des archives de l'hôpital, Maximilien Quantin, archiviste départemental, constitue des dossiers par propriété, quels que soit la date des documents ou les producteurs. Ces ensembles, reflétant sans doute également les besoins documentaires de l'hôpital, composés de liasses cousues, n'ont pas été démembrés ; on a donc choisi d'indiquer, dans la mesure du possible, le producteur originel, lorsqu'il pouvait être connu avec certitude.

      Sujet : domaine immobilier

      
      
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        Domaines agricoles 1330-1869

        Importance matérielle : 0.98 ml

        
        
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          H-dépôt 13 2 N 19 Cézy, Béon, Joigny et Saint-Romain-le-Preux 1520-1828

          Présentation du contenu :

          Terres de Cézy et Béon, partage avec Claude Thibault, curé de Saint-Jean de Joigny : acte notarié (1742) ; amodiation : baux (1520-1810). Cézy et La Celle-Saint-Cyr, amodiation : baux : (1775-1820). Les Grands-prés à Cézy, amodiation : baux (1784-1792). Labourage de Cézy-Béon, amodiation : baux (an II-1821). Labourage de Cézy, Béon, Joigny et Saint-Romain-le-Preux, amodiation : baux (an IV-1828).

          Importance matérielle : 0.05 ml

          Activité : location

          Organisme : Hôtel-Dieu et Maison de Charité unis (Joigny, Yonne, France) / Hôpital de Tous-les-Saints (Joigny, Yonne, France)

          Lieu : Cézy (Yonne, France) / Béon (Yonne, France) / Joigny (Yonne, France) / Saint-Romain-le-Preux (Sépeaux-Saint-Romain, Yonne, France) / Sépeaux-Saint-Romain (Yonne, France)

          
          
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          H-dépôt 13 2 N 21 Chamvres, Béon, Cézy, Joigny, Saint-Aubin 1717-1824

          Présentation du contenu :

          Amodiation : baux (an XIII-1824). Les prés-Naudin, acquisition : acte notarié (1717) ; amodiation : baux (1776-1821).

          Importance matérielle : 0.05 ml

          Activité : acquisition / location

          Organisme : Hôtel-Dieu et Maison de Charité unis (Joigny, Yonne, France)

          Lieu : Béon (Yonne, France) / Joigny (Yonne, France) / Cézy (Yonne, France) / Saint-Aubin-sur-Yonne (Yonne, France) / Prés-Naudin (Chamvres, Yonne, France)

          
          
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          Joigny 1330-1869

          Importance matérielle : 0.21 ml

          Lieu : Joigny (Yonne, France)

          
          
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          H-dépôt 13 2 N 35 Vignes de Joigny, Paroy, Chamvres et Looze 1573-1835

          Présentation du contenu :

          Mise en culture : marchés (1818-1827). Amodiation : baux (1573-1835).

          Importance matérielle : 0.03 ml

          Activité : location

          Organisme : Hôpital de Tous-les-Saints (Joigny, Yonne, France)

          Lieu : Joigny (Yonne, France) / Paroy-sur-Tholon (Yonne, France) / Chamvres (Yonne, France) / Looze (Yonne, France)

          
          
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          H-dépôt 13 2 N 41 Labourage de Saint-Aubin--sur-Yonne et Joigny, amodiation : baux 1644-1853

          Importance matérielle : 0.03 ml

          Activité : location

          Organisme : Hôtel-Dieu Saint-Antoine (Joigny, Yonne, France) / Hôtel-Dieu et Maison de Charité unis (Joigny, Yonne, France)

          Lieu : Joigny (Yonne, France) / Saint-Aubin-sur-Yonne (Yonne, France)

          
          
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          H-dépôt 13 2 N 44 Métarie de Vauretor, amodiation : baux 1692-1748

          Importance matérielle : 0.03 ml

          Activité : location

          Organisme : Maladrerie Saint-Jacques (Joigny, Yonne, France) / Hôtel-Dieu et Maison de Charité unis (Joigny, Yonne, France)

          Lieu : Vauretor (Joigny, Yonne, France) / Joigny (Yonne, France) / Looze (Yonne, France)