Les puissants, bourgeois ou seigneurs, communiquaient leurs intentions au notaire-arpenteur au moyen de petits billets que Me Fouet a fréquemment annexés à ses minutes. Ici le seigneur de Paron demande au notaire de reformuler un acte d'assemblée des habitants de Paron, qui lui sont hostiles : « Maistre Fouet, quand allé vous faire reformer cette collation de l'assemblée de nos habitans ? Je vous [ai] laissé la vieille, je vous prie de la donner à Hannequin, si vous l'avez encore : c'est pour monstrer aux advocats comme elle est tournée, affin de voir comme nous pouvons faire à l'insolence que nos habitans nous ont faits ces jours passez. Je suis vostre valet. De Paron. ».