Le lien du soldat avec son village est essentiel. Les familles racontent la vie de tous les jours : le père d'Edmond Guilleminot lui promet ainsi de partager un peu de viande du porc qu'ils tueront le dimanche suivant.

"Je fais lire mes lettres à un camarade sitôt que je les reçoit, on est content de se communiquer des nouvelles chacun de son côté". Octave Joly à sa femme, 2 juin 1915.

"Tu me renseignerat ceux qui'l se passe au pays". Octave Joly à sa femme, 21 novembre 1916.