Leur guerre, 1914-1918 > Hôpitaux et blessés > Du front à l'arrière : évacuer et hospitaliser > Les soins...
"Je reçois une balle au poignet droit, de suite je vais me faire panser au poste de secours (…). Je passe la nuit dans une ambulance près de la gare et le 1er mars j'embarque pour le Centre après avoir passer à Sainte-Ménéhould, Saint-Dizier, Saint-Florentin, Auxerre, Cravant, Cosne, Entrain, Bourges, Limoges, Brive et arrive à Tulle (Corrèze)".Léon Lélu, carnet de guerre, 28 février-1er mars 1915.
Certains soldats blessés sont évacués vers l'arrière pour être soignés.
C'est le cas du soldat Sébillotte : blessé une première fois le 1er mai...
Charles Chéreau, blessé par balle (plaie en séton au mollet droit) lors de l'attaque de la butte de Vauquois (Meuse) le 17 février 1915, est...