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La vie quotidienne au front

Sommaire de l'exposition

… et une « nouvelle » famille

ouvrir dans la visionneuse : 1 vue arch. dép. Yonne, 1 J 978

Les tranchées sont le cadre de la vie quotidienne ; si au tout début du conflit, elles sont quelque peu sommaires, elles deviennent à partir de l'automne 1914 les rouages d'un véritable système défensif, fruit du labeur des poilus. Dans ces conditions difficiles se développe une profonde camaraderie, substitut de la famille, qui s'exprime dans un vocabulaire commun : le parler des tranchées.

Le quotidien au front, c'est aussi l'espoir d'une permission pour quitter l'enfer et retrouver, pour quelques jours, un peu de normalité.

Expérience commune, vocabulaire commun

Tout au long du conflit les hommes partagent l'expérience commune et unique de l'enfer des tranchées.

Dans cet univers masculin, des liens forts...

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ouvrir dans la visionneuse : 1 vue Expérience commune, vocabulaire commun

Après l'effort...

Lorsque les poilus ne se battent pas, leur quotidien est rythmé par le travail ou « corvées ». Ils creusent des tranchées, les aménagent et les...

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ouvrir dans la visionneuse : 2 vues Après l'effort...

...un réconfort

Le ravitaillement, qui comporte nourriture et boisson (eau, « jus », « pinard », gnôle), est effectué par les poilus eux-mêmes lors de corvées, ou...

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ouvrir dans la visionneuse : 1 vue ...un réconfort

Un coin de paradis

La religion, ses rites et ses fêtes trouvent leur place dans cet « enfer ». C'est pour les poilus un moyen de tenir et de supporter une mort...

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ouvrir dans la visionneuse : 1 vue Un coin de paradis

S'évader du front : les permissions

Avec le conflit qui se prolonge, l'armée instaure à l'été 1915 les permissions dont la durée, à partir de 1916, est en théorie de sept jours tous...

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